Huiles, oeuvres papier, monotypes, collages
"A en croire une idée largement répandue pendant l’antiquité et le moyen-âge, la Lune n’est autre qu’un gigantesque miroir dont la surface est l’image de la surface de la terre.
Le phénomène des Eclipses a toujours effrayé les anciens, aujourd’hui elles attirent les foules.
La Lune est l’astre le plus gracieux et le plus mystérieux qu’il nous soit donné de contempler.
Symbole du temps qui passe, le temps vivant.
Son aspect et son comportement insolite n’ont jamais cessé de nous intriguer et de mettre notre imagination au défi d’expliquer…..
Le monde lunaire réserve, dit-on, des sensations extraordinaires, abusées par les illusions d’optique.
Des émotions d’une tout autre nature, mais non moins intenses.
Je veux en avoir le cœur net et faire réellement sa connaissance, faire le voyage…….."
Exposition "de la lune à la terre"
"C’est par la représentation de la lumière du noir que commence mon travail.
Représentation de la lumière non par sa forme mais dans l’espace que cette forme crée autour d’elle, dans un espace réel.
Un exercice de perception pure.
Donner à voir, une façon de tout revoir soi même de tout recommencer.
J’aime à dire que le début de mon travail se termine comme un ruban de Moebius.
Mes Utopies constructives sont des recherches du « lieu », du bon lieu.
Construction d’un lieu qui nous regarde au-delà de tout ce que nous voyons en lui. Un lieu qui met face au simple choix de regarder. L’endroit juste d’où regarder pour voir.
L’ensemble de mes recherches doit être compris comme une procédure ou un ensemble de procédures plutôt que comme un système d’explication. Il n’y a aucun discours à tenir sur ce sujet, on voit ou on ne voit pas, on sent ou on ne sent pas, on perçoit ou on ne perçoit pas.
Les Utopies Constructives sont des utopies de lieux, une extension visible de l’espace, un lieu singulier à regarder.
Une architecture d’utopie, en attendant….qu’une se réalise.
Mes Utopies constructives sont le voyage de Gulliver ou l’île mystérieuse un autre voyage de la terre à la lune……" (Mercedes CHAMBA).
http://mercedeschamba.blogspot.com/
http://www.mercedeschamba.site-fr.fr/
Mercedes CHAMBA a suivi les cours de l’Ecole des Beaux Arts de Versailles où elle a obtenu son diplôme avec la mention très bien et les félicitations unanimes du jury.
Elle revendique et soutient une absolue pluridisciplinarité artistique.
Elle est Présidente des anciens élèves des Beaux Arts.
Son œuvre, plurielle, reflète une inspiration qui s’exprime aussi dans ses photographies, ses vidéos ou encore dans des installations qu’elle affectionne.
Elle travaille principalement sur l’utopie constructive d’un lieu : « je suis fascinée par l’utopie qui, étymologiquement, signifie le bon lieu, l’endroit idéal ».
L’Artiste se considère comme une plasticienne, avant tout chercheuse, qui favorise un ensemble de procédures de réflexions sur la perception, avec pour seul médium, la lumière.
A travers les œuvres exposées, elle s’exprime en « Noir et Blanc ».
Récentes expositions:
- L'Artiste a été retenue pour la biennale d'Art contemporain de Lyon 2010
- Art at the Hertford 2008/2009
- Sélection pour les journées du Patrimoine 2009
- Carroussel du Louvre: Art Shopping 2008
- Parcours dans l'Art actuel à Versailles 2008
- Chemin des Arts 2008
de l'infiniment grand à l'infiniment petit
COMPOSITIONS "BLEU" 2009
Mercedes CHAMBA invitée par le journaliste Jordi BATALLE, à RFI (Radio France Internationale) le 3 février 2009, dans le cadre de l'émission "Cultura al dia", présente l'exposition "de la lune à la terre..." à la galerie HAMADRYADE.
"Este jueves la galería Hamadryade, de París, va a inaugurar una exposición de Mercedes Chamba, en la que, con el título de "De la Luna a la Tierra", esta artista francesa de origen español presenta su trabajo reciente: óleos, grabados o monotipos, en busca de la luz que se encuentra en lo negro.
Mercerdes Chamba nos invita a un ejercicio de percepción pura a través de la representación de la luz; no por su forma, sino por la forma que ésta crea en el espacio. Como afirma esta artista, la génesis de su obra podría compararse a la cinta de Moebius, una representación lineal del infinito, sin principio ni fin..." (RFI)
Pour écouter l'émission: http://www.rfi.fr/actues/articles/110/article_10658.asp